La Belugueta de TG’OC vous informe : Apprendre l’occitan sur les bords du Danube, c’est possible !

Pourquoi et comment un jeune autrichien de 25 ans, professeur de Français à Vienne, s’est-il interessé à la culture Occitane ? Réponses dans ce long entretien qu’il a accordé à LUCHON MAG lors de son récent passage à Luchon et dans le Val d’Aran.

Découverte de la présence officielle de l'Occitan en Val d'Aran (Photo NVF)
Découverte de la présence officielle de l’Occitan en Val d’Aran (Photo NVF)

Apprendre l’Occitan sur les bords du Danube, c’est possible… comme dans de nombreux autres pays du monde d’ailleurs. Au Japon, à la demande d’un éditeur japonais, Naoko Sano, la prof d’occitan de l’université de Nagoya, a même créé un dictionnaire japonais–occitan.

A LUCHON MAG nous avons la chance d’avoir un collaborateur ponctuel autrichien… et « occitanophone » que notre autre collaboratrice, Nadyne, accueille pour faciliter son perfectionnement en Occitan et sa découverte de l’Occitanie ».

A l’occasion du nouveau passage d’Alexander Sigmund dans notre cité thermale, nous avons eu envie de mieux le connaître et surtout de savoir pourquoi et comment la culture occitane peut intéresser un jeune Viennois, à peine âgé de 25 ans.

S’il considère le français comme sa deuxième langue maternelle, on notera, au cours de cette interview, que les mots occitans lui viennent très spontanément pour traduire sa pensée…

VOIR L’INTERVIEW

Nadyne Vern-Frouillou pour Luchon Mag – Septembre 2016

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