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« Demain n’existe plus » de Jean-Pierre POISOT

Demain n’existe plus

Demain n’existe plus
par Jean-Pierre Poisot
Jean-Pierre Poisot a commencé très tôt à écrire des poèmes, vers l’âge de 12 ans. Il a publié son premier roman à 28 ans. Depuis cette époque, bien qu’étant très impliqué dans ses différents métiers, il n’a jamais cessé d’écrire ! À ce jour, il a publié 6 romans, 7 recueils de poèmes et 14 livres illustrés pour les enfants de 2 à 10 ans. Trois de ces livres « jeunesse » sont traduits en anglais, en espagnol et en occitan.
Demain n’existe plus vient d’être édité par « Les Éditions du Bord du Lot ». Des passions juvéniles aux engagements d’adultes, le refus d’une vie linéaire et la recherche d’une justice qui réglerait les comptes de l’adolescence : les personnages sont empreints d’un vécu que chacun de nous aurait pu connaître. L’auteur nous entraîne à la recherche d’une vérité qui apaiserait les passions. Mais cette vérité existe-telle ? Les personnages vivent les derniers mois de la Seconde Guerre Mondiale, les journées troubles de la Libération, l’évolution des conditions ouvrières de l’après-guerre et les dérives de la Guerre d’Algérie. Nous entrons dans ce récit très réaliste à petits pas pour ne le quitter qu’à la dernière page, étonnés, voire bouleversés.
Le site de l’auteur : www.poisot.net
Pour commander le livre : http://www.bordulot.fr/detail-demain-n-039-existe-plus-366.html

« Destin falsifié ». Roman de Régine LAPRADE.

Destin falsifié. Régine LAPRADE
Destin falsifié. Régine LAPRADE

Dans ce récit tiré d’une histoire vraie, il y a la vie rêvée et la vie réelle. La lecture de ce roman ouvre les thématiques de la famille, de l’alcool, de l’amour, de la justice, avec au centre des enfants laissés pour compte.

Des enfants qui grandissent, deviennent des adolescents, puis à la fin du livre, des adultes accomplis : ils se sont construits, reconstruits, dans la volonté de croire en leur destin.

Lecteurs, laissez-vous entraîner dans cette histoire peu commune, écoutez, dégustez la musique du dialogue de Sarah et Cédric ; l’un comme l’autre vous crie : « Lis ça, c’est ma vie ! ».

Éditions Les Monédières – ISBN 978-2-36340-122-9 – Prix : 17€

Ouvrage disponible en librairie, aux Editions Les MONEDIERES (port gratuit) et bientôt sur Amazon

Voir article dans Luchon Mag, cliquez ici

« La machine à tuer ». Colette BERTHES. Editions Riveneuve Paris

Colette BERTHES
Colette BERTHES

Odell Barnes, petit délinquant noir et pauvre issu d’un ghetto du Texas est condamné à mort pour un crime dont il se dit innocent. De 1996 à 2000, quelques amis puis l’association Lutte pour la Justice vont l’aider à se défendre, récolter assez d’argent pour financer des enquêteurs privés et des d’avocat qui prouveront non seulement la mauvaise qualité de ses premiers défendeurs mais aussi les manœuvres du procureur et la falsification des preuves par la police. Malgré cela Odell sera exécuté.
Le récit de cette aventure, de ce que sont les couloirs de la mort, l’histoire de ceux qui y vivent et y meurent de ce qu’est la Justice aux Etats-Unis.

La Machine à tuer de  Colette Berthès est paru début juillet 2013. Il est vendu au profit de la Lutte pour la Justice qui continue à défendre des condamnés texans.
Ré-édition de l’ouvrage paru en 2000, mis à jour et complété.

Editions Riveneuve Paris – Prix : 14 euros

« Requiem pour la pègre » Fiction. David DEYMIER. Editions Ixcéa.

Robert Deymier
Robert Deymier

Cette fiction est dédiée aux familles qui ont perdu une fille mineure ou majeure lors des disparitions touchant le Grand Toulouse. Après jugements, au pluriel… Non-lieu…
Les coupables se reconnaîtront, en espérant de tout cœur que la vérité éclate au grand jour. Je rends hommage aux familles qui se sont battues pour tenter de faire plier la pègre… politique… justice…

Saison hivernale 1990-1991.
Âgé de 20 ans, je travaille en cuisine dans un complexe hôtelier de l’Alpe d’Huez. Une nuit, après avoir terminé mon service, et alors que je file ouvrir un snack de nuit, je rencontre l’auteur Etienne Roda-Gil. A l’époque, je dévore un livre de poche tous les deux jours…
Après un court échange, je lui fais part de mon envie d’écrire des romans d’espionnage, et toutes autres fictions. «Vas-y petit !» me répond-il alors, très encourageant.
De retour de cette saison qui a été et de loin la plus instructive, je prends la plume en avril 1991.
Et c’est en mars 2011, après ma rencontre avec l’éditeur André-Gérôme Gallego que je me décide à franchir le pas.