A la recherche du bien commun : à qui profite la Recherche ?

Des chinois ont inventé la poudre et le calcul graphique, des arabes nous ont donné le zéro et la clé de l’algèbre. La roue fut inventée en Irak (3500 ans Av. JC) et le roulement à bille qui l’aide à tourner est belge et fut inventé au XVIIIe siècle.

De toute éternité la recherche et l’invention ont apporté à l’humanité des connaissances et des réalisations : elles ont modifié le devenir de tous, par delà les frontières et les civilisations.

La recherche est universelle, c’est un bien commun de l’humanité, que l’inventivité des chercheurs nous donne en partage, mais est-ce bien le cas ?

La recherche représente aujourd’hui un enjeu commercial pour les industriels et les états : Les universités et leurs laboratoires sont liés aux entreprises dans des partenariats qui les conduisent à privilégier les disciplines porteuses d’applications pratiques et potentiellement rentables.

Quelles conséquences pour les chercheurs, leur indépendance, l’intérêt général, le débat démocratique autour de la fin et des moyens ? La recherche désintéressée n’existe plus dans un monde marchand … mais quels intérêts défend-elle ? qui la paie et à qui obéit-elle ?

Conférence-débat à la recherche du bien commun : à qui profite la Recherche ?
Jeudi 17 février à 20h30
, avec Claude Layalle, Ingénieur, membre de la commission Encadrement et Transparence des Activités de Lobbying
Entrée libre

Contacts :
Courriel : bpbonneau@free.fr ou jpcremoux@orange.fr

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Champ anti robots

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.