Vous avez ci-dessous les infos suivantes : le Retour du Jeudi 28 novembre, un concert en tête à texte avec Nino Ferrer ; une projection-débat de l’AJET sur la jeunesse grecque, mardi 26 novembre 2013.
– LE RETOUR DU JEUDI 28 NOVEMBRE : Nino Ferrer, en tête à texte
Jeudi 28 novembre / 18 h 30 / Foyer, bâtiment Pascal(e) Ambic / gratuit
Nino et nous, en tête à texte
A l’occasion des 15 ans de la disparition de Nino Ferrer, et à l’initiative de Zedrine (auteur et co-fondateur d’Enterré sous X), une équipée de passionnés issus du vivier musical toulousain a mis en forme une création-hommage sur le répertoire très large et surprenant de cet artiste, connu et aimé du grand public, mais dont une part majeure du travail est toujours restée dans l’ombre. Dans cette formule « en tête à texte », Alima Hamel et Zedrine (deux habitués des Retours du Jeudi) disent et chantent les textes de Nino, accompagnés par Étienne Choquet aux guitares et William Laudinat à la trompette.
Dans cette rencontre intimiste, centrée sur les mots de l’auteur, surgissent, entre des titres plus repérés, des textes non enregistrés ou peu connus, ainsi que des extraits de ses carnets, offrant un regard inédit sur cette oeuvre très personnelle.
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– MARDI 26 NOVEMBRE : projection-débat « La jeunesse grecque, entre impasse et utopie »
A 20h15, Auditorium I – Maison du Multimédia (entrée, place de Verdun)
Projection du film Ne vivons plus comme des esclaves, suivie d’un débat avec Yannis YOULOUNTAS, réalisateur et écrivain, et Lisa YOULOUNTAS, traductrice du film et étudiante franco-grecque.
Proposée par l’Association Jaurès Espace Tarn, ATTAC Tarn et la Fédération Syndicale Unitaire.
Principale victime de la crise, du chômage et de la politique austéritaire depuis 2010, la jeunesse grecque se trouve dans un état de précarité sans précédent. Elle migre pour survivre : exode massif vers les campagnes, exil incessant vers la diaspora grecque dans le monde. Mais cette jeunesse du bout de l’Europe est aussi très inventive, résistante, solidaire et porteuse d’alternatives formidables. Sur les murs des lycées et des universités, on ne lit pas « No future », mais « Un autre futur », et l’utopie à créer devient le principal sujet de discussion dans les assemblées étudiantes. Et si la crise, bien que douloureuse, était une chance ?
Entrée Libre et Gratuite
www.ajet.fr
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Jérôme Cabot
Chargé de mission à l’action culturelle
MCF en littérature française
Université Champollion
Tél. : 05 63 48 19 70
http://leretourdujeudi.univ-jfc.fr
