Ciné Monclar en Avril 2012

A vos agendas ! Voilà le programme de Ciné Monclar pour le mois d’Avril 2012 !

Félins
Félins
  • Félins

Dimanche 1er avril à 16 h.
Réalisé par Alastair FOTHERGILL
Distribué par Walt Disney
Durée : 1 h 29

Le Monde des Félins
En Afrique, au Kénia, dans l’une des régions les plus sauvages du monde, les animaux vivent libres et loin des hommes. Au sud du fleuve qui divise ces magnifiques terres, règne le clan des lions menés par Fang. La lionne Layla y éléve la jeune Mara. Au Nord du fleuve, le lion Kali et ses 4 fils rêvent d’étendre leur territoire. Bientôt les eaux seront assez basses pour que les maîtres du Nord tentent leur chance au sud….

    Les Acacias
    Les Acacias
  • Les acacias

Mardi 3 à 21h
Réalisé par Pablo Giorgelli
Avec Germán De Silva, Hebe Duarte, Nayra Calle Mamani
Drame espagnol, argentin
Durée : 1h 25min

Sur l’autoroute qui relie Asunción à Buenos Aires, un camionneur doit emmener une femme qu’il ne connaît pas et son bébé. Ils ont devant eux 1500 kilomètres, et le début d’une belle histoire.

Confronté à la difficile question des motivations qui l’ont poussé à faire ce film, Pablo Giorgelli est persuadé que son histoire personnelle a été décisive pour le développement de ce projet. En effet, en quelques mois à peine, le metteur en scène s’est séparé de sa compagne à un moment où la crise économique a frappé fort en Argentine : « Ce film parle de ma douleur face à la perte. De la solitude éprouvée à l’époque. Du besoin de me sentir protégé par quelqu’un », se remémore Pablo Giorgelli.

L’Humanité : Le film le plus beau et le plus simple de ce début d’année.

Première : A partir d’un postulat a priori rebutant (…), ce road-movie minimaliste filmé à hauteur de pare-brise, Caméra d’or à Cannes cette année, trace sa route en captant de simples échanges de regards pudiques et bouleversants.

J. Edgar
J. Edgar
  • J. Edgar

Mardi 10 à 21h
Réalisé par Clint Eastwood
Avec Leonardo DiCaprio, Naomi Watts, Armie Hammer
Durée : 2h15

Le film explore la vie publique et privée de l’une des figures les plus puissantes, les plus controversées et les plus énigmatiques du 20e siècle, J. Edgar Hoover. Incarnation du maintien de la loi en Amérique pendant près de cinquante ans, J. Edgar Hoover était à la fois craint et admiré, honni et révéré. Mais, derrière les portes fermées, il cachait des secrets qui auraient pu ruiner son image, sa carrière et sa vie.

Leonardo DiCaprio est le quatrième acteur à camper le personnage historique de J. Edgar Hoover au cinéma. Avant lui, Kevin Dunn l’avait déjà incarné dans Chaplin (1992) de Richard Attenborough, suivi de Bob Hoskins dans le biopic sur Nixon (1995) d’Oliver Stone, sans oublier Billy Crudup dans Public Enemies (2009) de Michael Mann, ce dernier le dévoilant pour la première fois sous un côté plus sombre et plus excentrique, à l’instar de Leonardo DiCaprio dans J. Edgar.

Le Monde : (…) « J. Edgar » est une réussite, un film tourmenté et fascinant surgi des replis les plus ténébreux de l’histoire et de la psyché américaines.

Marianne : un film d’une intelligence et d’une ambiguïté rares (…). Avec une maîtrise, une sûreté, une virtuosité extraordinaires, aussi bien visuelles que narratives [Clint Eastwood] va naviguer (…). Le choix d’offrir le rôle [à] Leonardo DiCaprio est judicieux.

Millenium
Millenium
  • Millenium Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

Mardi 17 à 21h
Réalisé par David Fincher
Avec Daniel Craig, Rooney Mara, Christopher Plummer
Durée : 2h38

Interdit aux moins de 12 ans

Mikael Blomkvist, brillant journaliste d’investigation, est engagé par un des plus puissants industriels de Suède, Henrik Vanger, pour enquêter sur la disparition de sa nièce, Harriet, survenue des années auparavant.
Lisbeth Salander, jeune femme rebelle mais enquêtrice exceptionnelle, est chargée de se renseigner sur Blomkvist, ce qui va finalement la conduire à travailler avec lui. Entre la jeune femme perturbée qui se méfie de tout le monde et le journaliste tenace, un lien de confiance fragile va se nouer tandis qu’ils suivent la piste de plusieurs meurtres. Ils se retrouvent bientôt plongés au cœur des secrets et des haines familiales, des scandales financiers et des crimes les plus barbares…

Le metteur en scène David Fincher et le scénariste Steven Zaillian sont restés fidèles au souhait de Stieg Larsson, qui était de se concentrer sur la corruption de la société et du milieu des affaires. Mais également sur celle des hommes, à laquelle les personnages principaux Mikael et Lisbeth sont confrontés à mesure qu’ils enquêtent sur la disparition de Harriet Vanger.

Télérama : Comme tout bon thriller, Millénium est captivant et troublant. Mais il suscite quelque chose en plus, de spécifique à Fincher. A peine vu, il donne aussitôt envie de le revoir. (…) Signe qu’on est bien ¬accro.

Le Parisien : [Un] remake impeccable de l’adaptation à l’écran du best-seller suédois. (…) Dans ce thriller sombre, angoissant, d’un suspense haletant, on découvre, et c’est une bonne surprise, un excellent Daniel Craig.

  • Les infidèles
  • Les infidèles
    Les infidèles

Mardi 24 à 21h
Réalisé par Jean Dujardin, Gilles Lellouche, Emmanuelle Bercot
Avec Jean Dujardin, Gilles Lellouche, Alexandra Lamy
Durée : 1h49

L’infidélité masculine et ses nombreuses variations, vues par 7 réalisateurs.

Bien que Les Infidèles soit un film composé de plusieurs sketches comiques différents, ceux-ci s’inscrivent dans une continuité afin que chacun d’entre eux ne déflorent pas le sujet des précédents : « Nous avions d’abord pensé séparer chaque film en lui donnant un titre, mais nous nous sommes aperçus que ce serait lourd. En partant d’un premier sketch qui commence au début du film et se termine à la fin, on installe le cœur du sujet à travers ces deux potes. […] Jusqu’au bout on s’est posé des questions sur l’agencement, l’ordre des sketches », confie Jean Dujardin.
Alexandra Lamy et Jean Dujardin, en couple dans la vie, se donnent la réplique dans le sketch « La Question ». Selon la réalisatrice Emmanuelle Bercot : « Voir leur couple jouer cette histoire est effectivement une mise en abyme et je ne sais pas s’ils auraient eu cette intensité face à quelqu’un d’autre », analyse-t-elle.

L’Express : C’est drôle, gonflé, réjouissant, cruel, osé, les comédiens s’y amusent (Nanty, Kiberlain, Canet, Lamy, Nakache, et tous les autres) et ça se regarde des deux mains. Pour les applaudissements.

Le Journal du Dimanche : L’ensemble, porté par l’indestructible tandem Lellouche-Dujardin, est drôle, pas prétentieux, et, surprise, souvent grinçant sur l’infidélité masculine. Une distraction…pas si innocente qu’il n’y paraît.

Zarafa
Zarafa
  • Zarafa

Dimanche 29 à 16h
Réalisé par Rémi Bezançon, Jean-Christophe Lie
Avec Max Renaudin, Simon Abkarian, François-Xavier Demaison
Animation – Français
Durée : 1h18

Sous un baobab, un vieil homme raconte aux enfants qui l’entourent, une histoire : celle de l’amitié indéfectible entre Maki, un enfant de 10 ans, et Zarafa, une girafe orpheline, cadeau du Pacha d’Egypte au Roi de France Charles X.
Hassan, prince du désert, est chargé par le Pacha de conduire Zarafa jusqu’en France mais Maki, bien décidé à tout faire pour contrarier cette mission et ramener la girafe sur sa terre natale, va les suivre au péril de sa vie.
Au cours de ce long périple qui les mènera du Soudan à Paris, en passant par Alexandrie, Marseille et les Alpes enneigées, ils vont vivre mille péripéties et croiser la route de l’aéronaute Malaterre, des étranges vaches Mounh et Sounh et de la pirate Bouboulina…

Les chiffres de Zarafa pourraient faire tourner la tête, même à une girafe ! Le film compte ainsi 1195 plans, qui ont demandé l’implication de 250 personnes à travers le monde (dont 38 à Angoulême et 58 à Paris), réparties sur 8 studios d’animation différents. La réalisation de Zarafa a nécessité près de 150 000 dessins, si l’on prend en compte toutes les étapes de l’animation !

Ecran Large : Une superbe histoire au contexte historique et géographique riche. Un film qui saura émouvoir et divertir les enfants et les adultes.

Le Figaroscope : Une pure merveille autant dans la forme (…) que dans le fond. (…) Le conte et la réalité historique s’entremêlent subtilement. (…) Ce divertissement est aussi proprice à la réflexion.

  • Terra ferma

Mardi 1 mai à 21h

Communiqué de Ciné Monclar

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