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Ah, vousdirai-je maman de Robert VERHEUGE

 

Est-ce, autour des 12 variations de Mozart, un essai dans lequel la musique dit en jouant ce que les mots ne savent pas décrire ? Un roman ? Dès qu’une vérité dépasse cinq lignes, c’est du roman, écrivait Jules Renard. Est-ce une réflexion à caractère autobiographique autour de la difficile relation d’une mère et de son fils ? Car le récit, sous la forme d’une ultime tentative de dialogue avec la mère disparue, entraîne le lecteur dans une enquête éperdue de vérité qui voudrait réparer non-dits et mensonges.. Ce faisant, le propos très personnel de l’auteur fait le portrait de trois générations où s’opposent les caractères, les positions idéologiques et sociales, depuis le Montmartre artiste des années 50 à la vitalité en région du dernier quart de siècle. Portrait sincère et nuancé de toute une époque qui met en question la condition de la femme et invite à méditer la place de l’art dans la société.

Date de publication : 11 avril 2022
Broché – format : 15,5 x 24 cm • 232 pages
ISBN : 978-2-343-25235-3
EAN13 : 9782343252353
EAN PDF : 9782140244094
(Imprimé en France)

OLCHITZKY-GAILLET Lydia, bio-bibliographie

Lydia Olchitzky-Gaillet est née à Paris dans le quartier du Marais rue Barbette. Elle réside dans le Lot où elle a été déléguée à la protection juridique des majeurs, chargée de préserver les droits des personnes vulnérables.

Membre d’Amnesty International, Lydia Olchitzky-Gaillet intervient particulièrement pendant la semaine du 25 novembre contre les violences faites aux femmes, à la demande des enseignants du milieu scolaire ou dans d’autres institutions (médiathèques, mairie de Cahors). Elle est responsable de l’éducation aux droits humains pour le groupe de Cahors et relais femme pour le département du Lot. A ce titre elle anime des débats et conférences pour soutenir films et documentaires et a réalisé des expositions sur les violences faites aux femmes qui accompagnent ses interventions. Elle est aussi membre d’un lieu de vie qui accueille des mineurs.

 

Lydia Olchitzky-Gaillet est l’autrice de quatre livres
publiés chez l’Harmattan :

  • Un récit historique :
    Spoliation et Enfants cachés,
    Le destin d’un résistant.
    Coll. « Historique » 2010
  • Une trilogie de trois romans intitulée :
    LE CLUB DES ABANDONNEES :

    • En sursis, Coll. « Rue des Ecoles, série Littérature », 2017
    • Remise de peines, Coll. « Ecritures », 2021
    • Sans appel. Une famille juive emportée dans la tourmente européenne du XXe siècle, Coll. « Graveurs de Mémoire », 2023

Un récit historique :

Spoliation et enfants cachés
Le destin d’un résistant

C’est une histoire familiale qui commence le jour de la « rafle du Vel’ d’Hiv’ ».

À travers ce récit, Lydia Olchitzky-Gaillet est allée à la rencontre de son père. En 1943, celui-ci sauve la vie de ses cousines Paulette, 11 ans (comme le héros du film « La Rafle» de Roselyne Bosch) et Simone 9 ans. Il les sort du camp de Douadic, juste avant leur transfert programmé pour Auschwitz.
Pour les protéger, il les confie à la directrice d’un orphelinat près de Grenoble. Elles seront des «enfants cachées ». Les demoiselles Chaneix retrouveront à la fin de la guerre leur véritable identité puis leur mère ainsi que leur foyer parisien un an plus tard.
Avant cet épisode, Leibka, le grand-père paternel de Lydia, tente de sauver sa vie mais il est arrêté avant de monter dans le train qui doit l’emmener en zone libre. Zizi, le père de Lydia, veut le faire évader mais Leibka s’y oppose. Celui-ci sera assassiné à Auschwitz, comme le père des sœurs Chaneix pris dans la rafle du «billet vert ». Zizi reste le héros de la famille, mais a culpabilisé toute sa vie de n’avoir pas pu sauver Leibka. Il ne s’en est jamais remis.

EXTRAIT
« On nous chargea comme des bêtes pour l’abattoir. Serrés, encastrés les uns dans les autres, nous étions près de deux cents personnes entassées dans deux ou trois camions. Les véhicules démarrèrent et après avoir roulé un certain temps on nous ordonna de descendre. On marchait dans la nuit au milieu des arbres à la queue leu-leu. On nous conseilla de ne pas faire de bruit. « Chut ! Doucement, doucement…, répétaient nos accompagnateurs. On marchait, on avançait à travers bois, on n’y voyait rien. A un moment on nous dit : ‘‘Vous êtes en zone libre. Donnez l’argent !’’ Ma mère s’exécuta. Nous avancions sur la route vers ce que nous croyions être un village. Vu l’heure tardive l’absence de lumière était normale. Enfin en zone libre, nous étions saines et sauves, contentes d’avoir échappé aux occupants. Mais cent mètres plus loin, derrière un tournant, des gendarmes nous attendaient. Ils étaient devant nous, ils barraient le passage. Ils nous demandèrent nos papiers. Ceux qui étaient français pouvaient partir. Les autres, comme ma mère étaient emmenés du côté de Chabanais, en résidence surveillée. »

Une trilogie de trois romans intitulée :
LE CLUB DES ABANDONNEES :

En sursis

C’est un roman sur l’amitié de deux femmes. Il se passe à Cahors.
Plusieurs lectures :
* le quotidien d’une mandataire judiciaire
* les violences conjugales
* les violences institutionnelles
* les conséquences dramatiques d’un secret de famille.

EXTRAIT

« Cher docteur,
Je viens d’apprendre par l’intermédiaire de mon cabinet d’associés que vous avez accepté de vous occuper du cas de madame Marie Meier… [Il y a]urgence car la santé de madame Meier est dans un état critique et sa situation vient de prendre un tour très alarmant pour elle comme pour son entourage familial.
À ce jour, je suis la seule détentrice de certaines informations capitales que Marie ignore. Je vous transmets ces documents que je viens de découvrir. Ils sont si importants que je ne me sens pas le droit de les divulguer. Et quand bien même, je serais totalement impuissante à en contrôler les effets. Je m’en remets donc à vous, seul juge en la matière. À vous de lui dévoiler la vérité si vous pensez que cela est nécessaire et bénéfique… »
Perla Katz

Remises de peines

Edité en 2021 ce roman est l’histoire d’une jeune fille qui a tout pour réussir. Elle est belle, intelligente et suscite l’intérêt des gens qui veulent son bien. Mais elle cumule les déboires parce qu’elle croit que la mode lui fera rencontrer l’amour de son père et l’acceptation de ses camarades. Elle ne voit pas la richesse qui est en elle et la main tendue des gens biens qui veulent l’aider à grandir.
Plusieurs lectures :
* la dépendance d’une jeune fille à l’argent et aux habits de marque qui ne compenseront pas son manque d’affection.
* les contingences qui compromettent les efforts d’une jeune fille qui rêve d’intégration.

EXTRAIT

« A quelques jours des vacances de Noël, au fond de la cour, Teddy s’approcha de Clara avec une badine à la main en criant « dépêche-toi ! Vite ! Vite ! Plus vite ! » Sa cravache, fouettant l’air et le sol, frôlait Clara. Tel un dompteur il criait « Saute ! Saute ! » La badine montait toujours plus haut. D’autres garçons s’avancèrent, l’air menaçant, munis eux aussi de bâtons. Les filles regardaient en riant. Au début Clara riait aussi tellement elle les trouvait stupides. On aurait dit des chefs d’orchestre qui ne connaissaient rien à la musique. Les baguettes se rapprochaient, sifflaient à ses oreilles, faisant voler ses boucles noires. Cela devenait de plus en plus dangereux. Un peu comme un avertissement qui voulait dire « c’est un avant goût de ce qui t’attend à la sortie. » Clara était seule face à la méchanceté. A l’écart, un élève regardait la scène sans oser s’interposer. On était bientôt en hiver et Clara était protégée par son manteau mais des marques rouges, comme descendues de sa robe, apparurent sur ses jambes. Alice, prévenue par d’autres élèves arriva en criant : « Ça suffit ! Bande de tarés ! » Elle entraîna Clara dans les toilettes. Elles étaient toutes les deux en pleurs.
Clara voulait savoir pourquoi Teddy pensait qu’elle n’était pas normale. Qu’est-ce qui n’allait pas chez elle ? Pourquoi s’en prenait-il à elle plus qu’à une autre ? Quand elle lui posait la question il répondait : « Je ne sais pas. C’est juste parce que tu as l’air d’une conne avec ta robe rouge, tes tics et ta perruque de poupée Barbie. » Clara ne comprenait pas pourquoi il parlait de tics, et encore moins, de perruque.
A la sortie, Jean David, l’élève qui n’avait pas participé au simulacre de lynchage, attendait Clara. Il voulait la consoler. Il savait ce qu’elle ressentait car il était passé par là. Au collège il avait été la cible de pareilles brimades. Plutôt chétif, il ne payait pas de mine surtout à cause de son importante myopie l’obligeant à porter de grosses lunettes aux verres en cul-de-bouteille. Les élèves l’appelaient « le crapaud ». En dehors de ces mauvais moments qu’il endurait, Jean n’intéressait personne. Depuis qu’il était entré au lycée, il passait totalement inaperçu malgré son physique disgracieux qu’il ne savait comment dissimuler. Clara n’avait donc rien à craindre de ce garçon inoffensif et bienveillant. Comparé aux ridicules petits chefaillons de sa classe, Jean était rassurant et elle appréciait les conseils qu’il lui prodiguait d’une voix douce.
— Qu’est-ce qui cloche chez moi ? lui avait demandé Clara.
— Ta robe rouge. Remplace-là par un jean 501… »

Sans appel, Une famille juive emportée dans la tourmente européenne du XXe siècle ?

C’est une chronique familiale romancée qui est racontée par Clara, la petite fille. Elle décrit la vie des Meier en Pologne, leur installation à Paris, les persécutions dont ils furent victimes de la part des nazis et de leurs complices français et l’engagement dans la résistance en Haute-Provence de Clara. Ce journal se termine par la terrible décision de son père, qui la chasse sans appel lorsqu’il apprend sa grossesse. Les malheurs de Marie, la fille de Paula, furent racontés par Perla Katz, sa curatrice, dans un récit intitulé En sursis et les épreuves vécues par Clara, la fille de Marie, ont été décrites dans Remise de peines. Paula, Marie, Clara forment ainsi « le club des abandonnées », comme les avait surnommées Paula.

EXTRAIT

« Quand il (mon père) m’a mise à la porte je me suis assise sur le trottoir pour pleurer. J’étais désespérée… Je me suis conduite comme une idiote en ne demandant pas à être réintégrée dans mon poste d’institutrice mais ma radiation avait représenté un tel séisme dans ma vie que j’ai eu peur de revivre cette épreuve, après tout ce que j’avais enduré, en entamant des démarches auprès du ministère. J’ai eu doublement tort. Je renonçais d’une part à un salaire convenable alors que j’étais très mal payée à l’atelier de poupées mais surtout je donnais raison à posteriori aux antisémites qui avaient commis une grande injustice à mon égard. Toujours est-il que je me suis beaucoup endettée auprès de l’une des nourrices. Les religieuses m’ont alors proposé de régler cette dette à condition de signer un acte d’abandon. Elles se chargeraient de faire adopter l’enfant. Elles insinuèrent qu’en cas de non-paiement de ma dette je risquais d’aller en prison et d’être séparée de ma fille. Alors que je les soupçonnais d’avoir déjà fait baptiser mes enfants à mon insu j’ai accepté ce marché sordide. J’étais aux abois. Tu vois, je ne vaux pas mieux que mon père. J’ai abandonné mon fils âgé de huit mois. »

 

Danser… de Claudine Thibout-Pivert

Recueil de poèmes

Passionnée de danse depuis l’enfance, la pratiquant en amateur, Claudine Thibout-Pivert exprime à travers ce recueil de poèmes son amour pour cet art qui occupe une place centrale dans sa vie. À partir également de citations glanées ici et là, elle explore et trace des chemins poétiques, menant ainsi une réflexion plus approfondie sur ce qu’est la danse et tout ce qu’elle représente. Dans cet ouvrage illustré par l’une de ses aquarelles, l’auteur mêle alors les trois arts qui lui sont chers et qui se rejoignent dans un même élan : la danse, la peinture et l’écriture.

Date de parution
14/07/2023

Editeur
Le Lys Bleu

Nombre de pages
140

Dans l’ombre de Jaurès de Robert Millet

5 août 1914. L’homme qui, anonyme parmi la foule, accompagne la dépouille de Jean Jaurès jusqu’au cimetière des Planques à Albi, va, dans quelques pages, prendre pour nous un nom, un visage et devenir notre guide sur les traces du grand Jaurès. L’histoire de Jules, adolescent issu d’une famille modeste, homme du peuple qui se bat pour l’avènement d’une société plus juste, où les pauvres, paysans, ouvriers, mineurs, verriers, pourront enfin vivre dans la dignité et la sécurité, rejoint la grande Histoire : celle d’un dix-neuvième siècle où poursuivre ses études au-delà du certificat d’études est quasiment impossible pour qui n’est pas « bien né », femme de surcroît, quelles que soient ses capacités, où les plus riches exploitent de façon éhontée des hommes et des femmes qui travaillent dans des conditions inhumaines pour des salaires misérables et vieillissent, tombent malades, meurent, prématurément.

Au fil des pages, André, Jules, Éléonore, Albert, Augustine… deviennent un peu notre famille et nous nous attachons à les suivre, à la mine, à la verrerie de Carmaux ou d’Albi, à voir grandir leurs enfants, à souffrir de leurs malheurs, à nous réjouir de leurs bonheurs.

Robert Millet signe ici un roman où intrigue et éléments historiques se mêlent de façon particulièrement réussie, pour le plus grand plaisir du lecteur.

Dans l’ombre de Jaurès

Millet Robert

Éditeur : Editions Noir au Blanc

Prix de vente au public (TTC) : 18.00€

icône livreLivre imprimé

260 pages ; 21 x 14,8 cm ; broché

ISBN 979-10-97157-23-4

EAN 9791097157234

édité 13/11/2023

Robert MILLET Bio-bibliographie

Robert Millet est né à Albi, a passé une partie de son enfance dans la maison natale de sa mère à Saint-André-de-Najac dans l’Aveyron non loin de la charmante petite bourgade de Monclar de Quercy. Après sa carrière de professeur et de directeur d’école dans le Vaucluse à Pernes-les-Fontaines et Saint-Didier, il a occupé les fonctions de chef d’établissement en Europe, en Afrique, en Asie et au Moyen Orient. Il a pris sa retraite à La-Roque-Sur-Pernes dans le Vaucluse. Dans son livre « Quand soufflera l’Autan » Robert Millet a romancé la vie de ses grands-parents qui en 1925, ont fui l’Espagne et leur vie miséreuse pour rejoindre l’Aveyron et tenter d’y trouver une existence plus heureuse. « L’Ubaye le savait » est son nouveau roman.

 

Bibliographie

En cliquant sur le titre d’un ouvrage, vous accéderez à sa fiche descriptive

 

 

Variations Catalanes, de Martine BIARD

Variations catalanes
Les parcours singuliers II Conférences et entretiens
Par Martine Biard

Date de publication : 18/05/2022

Attente comblée, dans cette première partie du XXIème siècle, pour les questionnements sur la Catalogne !
Dans ce deuxième volume du cycle:  » Les Parcours singuliers « , Martine Biard présente :  » Catalogne et Première Guerre mondiale « ,  » Catalogne et Guerre civile « ,  » La Sardane et autres usages « .
La thématique abordée est une occasion de retranscrire et de compléter les conférences et les émissions radiophoniques réalisées par l’historienne entre 2017 et 2021.

Un témoignage de l’enseignante et traductrice-interprète Carmen Agraz et une abondante bibliographie suppléeront aux débats tout en permettant à chacun de poursuivre les plaisirs de la découverte et de la recherche.

Variations catalanes est un ouvrage préfacé par l’écrivain Georges Bringuier. Illustrations du peintre Marcel Puig (1932-1998).

COSSEY Crystal, bio-bibliographie

 

Crystal COSSEY est née au début des années soixante en Aquitaine.

Elle s’est mariée durant ses études universitaires puis a rejoint son époux à l’étranger. C’est à ce moment-là qu’elle a commencé à écrire des recueils de nouvelles et de poèmes.

L’Allemagne, la région parisienne puis Marseille : c’est seulement lorsqu’elle revient vivre avec sa famille à Bordeaux que Cristal reprend l’écriture.

Mère d’une grande fratrie, et Mamou de petits enfants,fonctionnaire d’état à la retraite, elle décide enfin de faire partager ses manuscrits au plus grand nombre. Elle écrit des romans « à hauteur d’homme », bien souvent des livres téùoignages, ainsi que des scénarios de téléfilms et de séries télé

 

 

Courriel: crystalcossey2433@gmail.com

La vieille femme derrière ses carreaux

Date de parution :
2 novembre 2023

Editeur : Editions Jkdc
EAN : 9782492751332
Support : Papier
Nombre de pages : 272
Genre : Littérature française
Thème : Romans Nouvelles Correspondance

APERÇU : A quoi pense à cet instant Louise en regardant derrière ses carreaux de la fenêtre de sa cuisine, assise dans un fauteuil paillé ? La neige tombe à petits flocons et tapisse la route principale du village ainsi que les trottoirs. Un feu joyeux crépite dans la cheminée qui trône dans un coin de la pièce, tout en réchauffant la chambre et le salon dont les portes sont restées ouvertes. La télé, restée allumée, diffuse les informations où les images malheureuses de guerre au Liban et les images heureuses d’un mariage princier se suivent sans discontinuer. Mais la sexagénaire est perdue dans ses pensées, au loin, dans sa vie d’avant… Alors qu’elle est à l’hiver de sa vie, un jeune couple rencontré en Allemagne va adoucir ses dernières années. Comme par magie, malgré sa maladie latente, elle va retrouver beaucoup de pétillance et de bonheur dans sa chienne de vie… Et Dieu sait que cette chienne de vie ne lui a vraiment pas fait de cadeaux !!!

 

Le piano endormi

Editions Jkdc
Date de parution : 30/10/2023
EAN : 9782492751325
Support : Papier
Nombre de pages : 272
Genre : Littérature française
Thème : Romans Nouvelles Correspondance
Résumé:
APERÇU : Louison et son grand-père Ferdinand habite une magnifique bastide à la sortie du village de Chancelade, à quelques kilomètres de Périgueux. Les Allemands ont pris possession de toute la France, et la Dordogne n’échappe pas à cette emprise. Pour le moment le vieil homme et sa petite-fille n’ont pas à subir cette invasion, alors que beaucoup d’officiers allemands se sont installés dans tous les châteaux environnants. Malheureusement pour ces deux personnes isolées, la quiétude va bientôt se terminer un soir d’automne lorsqu’un jeune officier allemand aux yeux bleu océan va débarquer chez eux. C’est une réquisition prise par la préfecture ainsi que l’édile de la commune, ennemi juré du patriarche. Ce bel officier va tomber tout de suite sous le charme de cette jeune fille en fleurs promise à Jacques, enseignant comme elle, retenu prisonnier pour le moment en Allemagne. Succombera-t-elle à cet appel de la chair et des sentiments ? Sera-t-elle fidèle à son promis ? Quel rôle Ferdinand va-t-il jouer dans cette histoire d’amour naissante ?

 

Ma femme… ce monstre

Editions Evidence
Date de parution : 03/07/2019
EAN : 9791034811229
Support : Papier
Nombre de pages : 272
Genre : Sociologie
Thème : Sociologie Faits de société, Témoignages contemporains, Actualité, Biographies

Résumé:
Rien ne prédestine ce charmant jeune homme, militaire, à rencontrer celle qui va le détruire durant presque trente ans. Obligé de l’épouser seulement quelques mois après l’avoir rencontrée, il endosse une paternité qui n’est pas de son fait. Nous sommes dans les années quatre-vingt. Elle n’aura de cesse de le frapper, l’humilier, le bafouer, salir le nom et la position sociale qu’il lui apporte. Sur fond d’alcoolisme et de sexualité salace et scabreuse avec des amants de passage, des baltringues, cette femme va tenter de l’entrainer dans cette vie dépravée. Jamais il ne tombera dans ce précipice, au grand désespoir de Hyacinthe. Bien qu’il essaie de parler de ce qu’il vit, des coups, des blessures, dont il gardera à jamais les blessures psychologiques, dès qu’une personne intervient afin de le sortir de cet enfer, la seule réponse qu’il peut fournir est Ce n’est pas de sa faute. Faudra-t-il attendre qu’elle atteinte à sa vie pour qu’il sorte enfin de cet abîme?

 

Je sais que tu m’attends

Date de parution : 12/05/2018
Editeur : Evidence Editions
EAN : 9791034807055
Support : Papier
Nombre de pages : 136
Collection : VENUS
Genre : Littérature française
Thème : Romans Nouvelles Correspondance

Résumé:
Les années quatre-vingt arrivent à grands pas, et avec elles, le visage politique de la France, ainsi que l’émergence des radios libres, de nouveaux sons musicaux, et, pour moi, ma plus belle histoire d’amour. Nous ne sommes jamais vraiment préparés à dire adieu à l’amour de sa vie. Malheureusement, l’univers a décidé à notre place notre destinée. Qui était-il, lui, pour briser ainsi notre avenir ?J’en ai traversé des tempêtes depuis ton départ sans retour. Qu’aurait pu être notre existence, si la tienne n’avait pas été engloutie par un ruisseau devenu torrent en cette nuit de février glaciale ? Au fil de ce roman où je tenais à te rendre hommage, j’imagine notre vie en Aquitaine, proche de l’océan que tu adorais, voire que tu idolâtrais.Aujourd’hui, les années aidant, je suis apaisée, prête un jour, à te rejoindre au paradis.

 

Mémoire d’une femme bafouée

Date de parution : 22/10/2013
Editeur : Baudelaire
EAN : 9791020302212
Support : Papier
Nombre de pages : 172
Genre : Littérature française
Thème : Romans Nouvelles Correspondance
Résumé:
« Ça y est, je suis inscrite à l’université et du haut de mon mètre soixante-dix et de mes seize ans, je vais faire mon entrée dans le monde des grands, celui des adultes. Si j’avais su à cette époque-là ! Pour l’heure je suis tout à mon bonheur avec Dominique sans toutefois perdre de vue que je veux réussir mes études de droit. Je rêve d’être un jour une grande avocate reconnue. Peu importe la profession qu’exercera mon futur mari. À deux on est plus fort, nous pouvons faire tomber toutes les barrières, tous les obstacles qui peuvent ou pourront se dresser devant nous.  »

 

 

« NOVA » de Fabienne LHOUNEAU

Fabienne Lhoumeau (quatrième roman)

Trois amies, Candice Angèle et  Rosalie décident de se retrouver autour d’un dîner, le soir de la Saint-Valentin.
Tour à tour, elles vont révéler leur histoire hyper extraordinaire, prenant à témoin la jeune Léna qu’elles ont invitée.
Un roman sensible et pétillant au cours duquel chacune témoignera de sa rencontre avec sa NOVA, cette étoile qui désarme toutes les autres,tant elle éblouit intensément.

Nova, Roman – 13€

Pour du pain! d’Hania Raczak

Une présentation de Christian Nowicki, professeur de Lettres et Communication, Directeur du Pôle Enseignement Supérieur Baudimont à Arras, collaborateur depuis plus de trente ans à l’hebdomadaire régional « L’Avenir de l’Artois » où il a notamment développé la rubrique « Nowa Polska » consacrée à l’actualité et l’Histoire de la Polonia du Nord de la France.

« Pour du pain! » : tout serait dit dans ce titre. Comment expliquer en effet autrement cette immigration soudaine et massive qui, il y a cent ans, jettera puis installera des centaines de milliers de Polonais en France ? Il suffit de regarder dans les livres d’Histoire : le contexte des années 20, la dépression, l’horreur économique, la faim… Mais ce que l’Histoire ne dit pas ce sont les histoires, celles de ces hommes et de ces femmes arrachés à leur terre pour en découvrir une autre, ni promise ni rêvée, espérée tout au plus ; dans tous les cas ouverte et différente où il leur a fallu trouver une place. Or le recueil d’Hania Raczak réussit la gageure : faire entendre les voix de ces aïeux, les écouter parler. Par la grâce de sa narration ils deviennent autant de personnages intimes dont les confessions émouvantes se confrontent à l’évocation des épreuves sociales et économiques de temps sans pitié. Car l’auteure a voulu écrire leur destin à la première personne comme pour mieux identifier ces anonymes emportés dans les foules en errance, retrouver enfin leurs itinéraires particuliers. L’engagement et l’ambition de ce beau livre sont de transmettre ces témoignages pour les sauver de l’oubli et faire vivre la mémoire des migrants ; ce que la propre mère de l’auteure exprime ici en ces mots : “c’est comme si tu nous rendais la parole…” La traduction en polonais de cette série de témoignages recueillis accompagne la version originale tandis qu’une riche iconographie de photos anciennes, mais lumineuses, rapportent les Visages émouvants de ces vies fracturéesoudaine et massive qui, il y a cent ans, jettera puis installera des centaines de milliers de Polonais en France ? Il suffit de regarder dans les livres d’Histoire : le contexte des années 20, la dépression, l’horreur économique, la faim… Mais ce que l’Histoire ne dit pas ce sont les histoires, celles de ces hommes et de ces femmes arrachés à leur terre pour en découvrir une autre, ni promise ni rêvée, espérée tout au plus ; dans tous les cas ouverte et différente où il leur a fallu trouver une place. Or le recueil d’Hania Raczak réussit la gageure : faire entendre les voix de ces aïeux, les écouter parler. Par la grâce de sa narration ils deviennent autant de personnages intimes dont les confessions émouvantes se confrontent à l’évocation des épreuves sociales et économiques de temps sans pitié. Car l’auteure a voulu écrire leur destin à la première personne comme pour mieux identifier ces anonymes emportés dans les foules en errance, retrouver enfin leurs itinéraires particuliers. L’engagement et l’ambition de ce beau livre sont de transmettre ces témoignages pour les sauver de l’oubli et faire vivre la mémoire des migrants ; ce que la propre mère de l’auteure exprime ici en ces mots : “c’est comme si tu nous rendais la parole…” La traduction en polonais de cette série de témoignages recueillis accompagne la version originale tandis qu’une riche iconographie de photos anciennes, mais lumineuses, rapportent les Visages émouvants de ces vies fracturées.

Pour du pain! Za Chlebem !
Hania Raczak

Éditeur NORD AVRIL

https://www.nordavril.com/catalogue/pour-du-pain-za-chlebem/

Prix de vente au public : 26.00€
256 pages 29 x 21 cm ; bilingue français/polonais broché
une critique sur la polonia au futur

https://poloniaaufutur.over-blog.com/2023/10/dla-chleba.un-livre-qui-est-plus-qu-un-livre.html

programme des dédicaces

https://haniawork.blogspot.com/p/blog-page_83.html