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Actualités Littéraires, Activités Occitanes & Echanges Internationaux

Biographie . Corinne SAUFFIER

SAUFFIER Corinne

D’origine grecque, (son père était natif d’Alexandrie et sa mère originaire de l’île de Rhodes), Corinne Sauffier est professeur de Français en lycée professionnel à Montpellier. Elle a publié de nombreux recueils de poésie, des ouvrages sur la Grèce légendaire et mythologique et dirige aussi la troupe de théâtre du lycée

La muse des sables

Léonard de Vinci où elle enseigne (Le théâtre Héphaïstos), des pièces de théâtre écrites pour les jeunes, jouées et mises en scène par ses élèves. Ses deux derniers livres :

  • « Mon père me racontait Alexandrie », Editions Le Livre Actualité, mai 2017
  • « La Muse des sables », Editions Le Livre et la Plume, octobre 2017

 

Site : http://corinnesauffier.wixsite.com/livres

Page Facebook : https://www.facebook.com/corinne.sauffier.3

Coordonnées : corinne.sauffier@gmail.com  (Montpellier)

Tel : 06 27 12 04 66

VERHEUGE Robert, biographie

Robert VERHEUGE né le 28/05/45 Paris XVIIIème

Marié à Mireille COURDEAU – pianiste, compositeur, directrice des Conservatoires Décentralisés de la ville de Marseille créatrice, directrice de la Cié de la Musique

Consultant expert – médiation – politiques culturelle
Cofondateur de PHOSPHOROS – Cabinet Consultant et Institut des Métiers de la Culture en Midi Pyrénées. (Siège à Montauban). Cette structure intervenant à 70% dans le Grand Sud Ouest puis sur l’ensemble du territoire français, a regroupé de 1998 à 2018, 9 consultants permanents et de façon plus occasionnelle, 15 formateurs.

Parcours professionnel

1998/2020 Cabinet Phôsphoros

Entre 1996 et 2020, Phôsphoros est intervenu sur environ un millier de projets artistiques et culturels relevant du privé, relatifs à des associations d’intérêt général, ou concernant le service public. Les études de politiques territoriales produites par ce bureau d’études dans le cadre des dispositifs mis en place par le Conseil Régional Midi Pyrénées, sont consultables notamment sur les sites du Conseil Régional ou sur les sites des Pays (ex Pays Sud Toulousain ou Pays des Portes de Gascogne).

Principales responsabilités assumées avant 1998, année de fondation du cabinet

1998/2001 Directions projet scientifique et culturel et Office de Tourisme de l’Abbaye de Moissac (82)
1984/1988
Conseiller technique puis directeur Cabinet du Maire de Marseille – (Gaston Defferre puis Robert VIGOUROUX) domaines d’interventions : Développement de la vie associative, environnement, développement culturel, tourisme, sports – Vie associative, Jeunesse, Sports,
Directeur de l’Office de la culture de la Ville de Marseille

1982/1983
Secrétaire Général « Union Nationale des Clubs Léo Lagrange (Siège Paris)

Parallèlement

1982/1983 – Délégué Régional Fédération Léo Lagrange « Grand Sud Ouest » (siège Toulouse)

1976/ 1982 – Directeur du Centre Culturel de Rencontres (Collège d’Echanges Contemporaines – Ancien Couvent Royal de St Maximin) structure à vocation européenne et à contenu artistiques et culturels – rattachée à la Caisse des Monuments Historiques et des Sites – (Aujourd’hui CMH)

1968/1976 – Au sein de la fédération Léo Lagrange Diverses directions et délégations dans le domaine de l’éducation populaire en allant progressivement de la direction de Maison de Jeunes de quartier à des responsabilités communales, puis interrégionales (grand Sud Est)

1960/1968 – Ouvrier spécialisé – Simca Poissy

Responsabilités dans le monde de l’enseignement et de l’édition

2009/2012 – Création animation et édition « Ateliers Territoires et Culture en Midi Pyrénées » Ces ateliers bisannuels coproduits avec le conseil Régional, regroupaient « territoire par territoire », des élus, des représentants du monde universitaire, des agents économiques et des opérateurs culturels.

1976/ 2003
Intervenant
– Université de Sciences Sociales d’Aix en Provence (DEUG licence, maîtrise ) – CNFPT Provence Côté d‘Azur (formation de cadres culturels territoriaux – Institut National d’Education Populaire de Marly le Roi
– Professeur Associé « MASTER – stratégies développement culturel » à l’Université d’Avignon et des Pays du Vaucluse
– Intervenant CNFPT – Midi Pyrénées

Divers travaux d’écriture

Gérer l’Utopie ou l’action Culturelle dans la Cité (Edisud)
L’opéra et les Industries de l’Imaginaire (Institut d’Etudes Politiques – Grenoble)
Création de la revue « Les Cahiers de St Maximin » éditions Rivages. Parmi les auteurs accueillis à l’occasion de divers colloques – Philippe ARIES, Michelle VOVELLE, Georges DUBY etc.
Rédacteur en chef « Territoires et Culture » édition cabinet Phôsphoros
Ah vous dirai-je maman, 2023 « l’Harmattan »
La Haines des Autres 2023 « Cairn »

Formations et diplômes

Autodidacte- formation et diplômes acquis à l’âge adulte
Diplômes :
Jeunesse et Sports et Affaires Sociales : DECEP – CAPASE – DEFA –
Educateur spécialisé
Culture : MASTER II – Aménagement du territoire et politiques culturelles (Institut d’Etudes Politiques de Grenoble)

Centres d’intérêt et Pratiques sociales et culturelles

Voile (Croisière hauturière et côtière)
Musique (pratique du piano – musique classique et jazz)
Randonnée

BIBLIOGRAPHIE

Ah, vous dirai-je maman 

La Haine des autres, le Midi aussi

 

La Haine des autres, le Midi aussi de Robert VERHEUGE

La Haine des autres, le Midi aussi

 9791070063200

Questionné par Dominique Porté, Robert Verheuge nous fait part de son constat sur les origines de l’intolérance. Observateur et acteur du territoire, sa longue expérience au sein de l’action culturelle dans le Sud de la France lui permet aujourd’hui de livrer un texte engagé qui pousse à la réflexion sur l’avenir de notre démocratie…

Ah, vousdirai-je maman de Robert VERHEUGE

 

Est-ce, autour des 12 variations de Mozart, un essai dans lequel la musique dit en jouant ce que les mots ne savent pas décrire ? Un roman ? Dès qu’une vérité dépasse cinq lignes, c’est du roman, écrivait Jules Renard. Est-ce une réflexion à caractère autobiographique autour de la difficile relation d’une mère et de son fils ? Car le récit, sous la forme d’une ultime tentative de dialogue avec la mère disparue, entraîne le lecteur dans une enquête éperdue de vérité qui voudrait réparer non-dits et mensonges.. Ce faisant, le propos très personnel de l’auteur fait le portrait de trois générations où s’opposent les caractères, les positions idéologiques et sociales, depuis le Montmartre artiste des années 50 à la vitalité en région du dernier quart de siècle. Portrait sincère et nuancé de toute une époque qui met en question la condition de la femme et invite à méditer la place de l’art dans la société.

Date de publication : 11 avril 2022
Broché – format : 15,5 x 24 cm • 232 pages
ISBN : 978-2-343-25235-3
EAN13 : 9782343252353
EAN PDF : 9782140244094
(Imprimé en France)

OLCHITZKY-GAILLET Lydia, bio-bibliographie

Lydia Olchitzky-Gaillet est née à Paris dans le quartier du Marais rue Barbette. Elle réside dans le Lot où elle a été déléguée à la protection juridique des majeurs, chargée de préserver les droits des personnes vulnérables.

Membre d’Amnesty International, Lydia Olchitzky-Gaillet intervient particulièrement pendant la semaine du 25 novembre contre les violences faites aux femmes, à la demande des enseignants du milieu scolaire ou dans d’autres institutions (médiathèques, mairie de Cahors). Elle est responsable de l’éducation aux droits humains pour le groupe de Cahors et relais femme pour le département du Lot. A ce titre elle anime des débats et conférences pour soutenir films et documentaires et a réalisé des expositions sur les violences faites aux femmes qui accompagnent ses interventions. Elle est aussi membre d’un lieu de vie qui accueille des mineurs.

 

Lydia Olchitzky-Gaillet est l’autrice de quatre livres
publiés chez l’Harmattan :

  • Un récit historique :
    Spoliation et Enfants cachés,
    Le destin d’un résistant.
    Coll. « Historique » 2010
  • Une trilogie de trois romans intitulée :
    LE CLUB DES ABANDONNEES :

    • En sursis, Coll. « Rue des Ecoles, série Littérature », 2017
    • Remise de peines, Coll. « Ecritures », 2021
    • Sans appel. Une famille juive emportée dans la tourmente européenne du XXe siècle, Coll. « Graveurs de Mémoire », 2023

Un récit historique :

Spoliation et enfants cachés
Le destin d’un résistant

C’est une histoire familiale qui commence le jour de la « rafle du Vel’ d’Hiv’ ».

À travers ce récit, Lydia Olchitzky-Gaillet est allée à la rencontre de son père. En 1943, celui-ci sauve la vie de ses cousines Paulette, 11 ans (comme le héros du film « La Rafle» de Roselyne Bosch) et Simone 9 ans. Il les sort du camp de Douadic, juste avant leur transfert programmé pour Auschwitz.
Pour les protéger, il les confie à la directrice d’un orphelinat près de Grenoble. Elles seront des «enfants cachées ». Les demoiselles Chaneix retrouveront à la fin de la guerre leur véritable identité puis leur mère ainsi que leur foyer parisien un an plus tard.
Avant cet épisode, Leibka, le grand-père paternel de Lydia, tente de sauver sa vie mais il est arrêté avant de monter dans le train qui doit l’emmener en zone libre. Zizi, le père de Lydia, veut le faire évader mais Leibka s’y oppose. Celui-ci sera assassiné à Auschwitz, comme le père des sœurs Chaneix pris dans la rafle du «billet vert ». Zizi reste le héros de la famille, mais a culpabilisé toute sa vie de n’avoir pas pu sauver Leibka. Il ne s’en est jamais remis.

EXTRAIT
« On nous chargea comme des bêtes pour l’abattoir. Serrés, encastrés les uns dans les autres, nous étions près de deux cents personnes entassées dans deux ou trois camions. Les véhicules démarrèrent et après avoir roulé un certain temps on nous ordonna de descendre. On marchait dans la nuit au milieu des arbres à la queue leu-leu. On nous conseilla de ne pas faire de bruit. « Chut ! Doucement, doucement…, répétaient nos accompagnateurs. On marchait, on avançait à travers bois, on n’y voyait rien. A un moment on nous dit : ‘‘Vous êtes en zone libre. Donnez l’argent !’’ Ma mère s’exécuta. Nous avancions sur la route vers ce que nous croyions être un village. Vu l’heure tardive l’absence de lumière était normale. Enfin en zone libre, nous étions saines et sauves, contentes d’avoir échappé aux occupants. Mais cent mètres plus loin, derrière un tournant, des gendarmes nous attendaient. Ils étaient devant nous, ils barraient le passage. Ils nous demandèrent nos papiers. Ceux qui étaient français pouvaient partir. Les autres, comme ma mère étaient emmenés du côté de Chabanais, en résidence surveillée. »

Une trilogie de trois romans intitulée :
LE CLUB DES ABANDONNEES :

En sursis

C’est un roman sur l’amitié de deux femmes. Il se passe à Cahors.
Plusieurs lectures :
* le quotidien d’une mandataire judiciaire
* les violences conjugales
* les violences institutionnelles
* les conséquences dramatiques d’un secret de famille.

EXTRAIT

« Cher docteur,
Je viens d’apprendre par l’intermédiaire de mon cabinet d’associés que vous avez accepté de vous occuper du cas de madame Marie Meier… [Il y a]urgence car la santé de madame Meier est dans un état critique et sa situation vient de prendre un tour très alarmant pour elle comme pour son entourage familial.
À ce jour, je suis la seule détentrice de certaines informations capitales que Marie ignore. Je vous transmets ces documents que je viens de découvrir. Ils sont si importants que je ne me sens pas le droit de les divulguer. Et quand bien même, je serais totalement impuissante à en contrôler les effets. Je m’en remets donc à vous, seul juge en la matière. À vous de lui dévoiler la vérité si vous pensez que cela est nécessaire et bénéfique… »
Perla Katz

Remises de peines

Edité en 2021 ce roman est l’histoire d’une jeune fille qui a tout pour réussir. Elle est belle, intelligente et suscite l’intérêt des gens qui veulent son bien. Mais elle cumule les déboires parce qu’elle croit que la mode lui fera rencontrer l’amour de son père et l’acceptation de ses camarades. Elle ne voit pas la richesse qui est en elle et la main tendue des gens biens qui veulent l’aider à grandir.
Plusieurs lectures :
* la dépendance d’une jeune fille à l’argent et aux habits de marque qui ne compenseront pas son manque d’affection.
* les contingences qui compromettent les efforts d’une jeune fille qui rêve d’intégration.

EXTRAIT

« A quelques jours des vacances de Noël, au fond de la cour, Teddy s’approcha de Clara avec une badine à la main en criant « dépêche-toi ! Vite ! Vite ! Plus vite ! » Sa cravache, fouettant l’air et le sol, frôlait Clara. Tel un dompteur il criait « Saute ! Saute ! » La badine montait toujours plus haut. D’autres garçons s’avancèrent, l’air menaçant, munis eux aussi de bâtons. Les filles regardaient en riant. Au début Clara riait aussi tellement elle les trouvait stupides. On aurait dit des chefs d’orchestre qui ne connaissaient rien à la musique. Les baguettes se rapprochaient, sifflaient à ses oreilles, faisant voler ses boucles noires. Cela devenait de plus en plus dangereux. Un peu comme un avertissement qui voulait dire « c’est un avant goût de ce qui t’attend à la sortie. » Clara était seule face à la méchanceté. A l’écart, un élève regardait la scène sans oser s’interposer. On était bientôt en hiver et Clara était protégée par son manteau mais des marques rouges, comme descendues de sa robe, apparurent sur ses jambes. Alice, prévenue par d’autres élèves arriva en criant : « Ça suffit ! Bande de tarés ! » Elle entraîna Clara dans les toilettes. Elles étaient toutes les deux en pleurs.
Clara voulait savoir pourquoi Teddy pensait qu’elle n’était pas normale. Qu’est-ce qui n’allait pas chez elle ? Pourquoi s’en prenait-il à elle plus qu’à une autre ? Quand elle lui posait la question il répondait : « Je ne sais pas. C’est juste parce que tu as l’air d’une conne avec ta robe rouge, tes tics et ta perruque de poupée Barbie. » Clara ne comprenait pas pourquoi il parlait de tics, et encore moins, de perruque.
A la sortie, Jean David, l’élève qui n’avait pas participé au simulacre de lynchage, attendait Clara. Il voulait la consoler. Il savait ce qu’elle ressentait car il était passé par là. Au collège il avait été la cible de pareilles brimades. Plutôt chétif, il ne payait pas de mine surtout à cause de son importante myopie l’obligeant à porter de grosses lunettes aux verres en cul-de-bouteille. Les élèves l’appelaient « le crapaud ». En dehors de ces mauvais moments qu’il endurait, Jean n’intéressait personne. Depuis qu’il était entré au lycée, il passait totalement inaperçu malgré son physique disgracieux qu’il ne savait comment dissimuler. Clara n’avait donc rien à craindre de ce garçon inoffensif et bienveillant. Comparé aux ridicules petits chefaillons de sa classe, Jean était rassurant et elle appréciait les conseils qu’il lui prodiguait d’une voix douce.
— Qu’est-ce qui cloche chez moi ? lui avait demandé Clara.
— Ta robe rouge. Remplace-là par un jean 501… »

Sans appel, Une famille juive emportée dans la tourmente européenne du XXe siècle ?

C’est une chronique familiale romancée qui est racontée par Clara, la petite fille. Elle décrit la vie des Meier en Pologne, leur installation à Paris, les persécutions dont ils furent victimes de la part des nazis et de leurs complices français et l’engagement dans la résistance en Haute-Provence de Clara. Ce journal se termine par la terrible décision de son père, qui la chasse sans appel lorsqu’il apprend sa grossesse. Les malheurs de Marie, la fille de Paula, furent racontés par Perla Katz, sa curatrice, dans un récit intitulé En sursis et les épreuves vécues par Clara, la fille de Marie, ont été décrites dans Remise de peines. Paula, Marie, Clara forment ainsi « le club des abandonnées », comme les avait surnommées Paula.

EXTRAIT

« Quand il (mon père) m’a mise à la porte je me suis assise sur le trottoir pour pleurer. J’étais désespérée… Je me suis conduite comme une idiote en ne demandant pas à être réintégrée dans mon poste d’institutrice mais ma radiation avait représenté un tel séisme dans ma vie que j’ai eu peur de revivre cette épreuve, après tout ce que j’avais enduré, en entamant des démarches auprès du ministère. J’ai eu doublement tort. Je renonçais d’une part à un salaire convenable alors que j’étais très mal payée à l’atelier de poupées mais surtout je donnais raison à posteriori aux antisémites qui avaient commis une grande injustice à mon égard. Toujours est-il que je me suis beaucoup endettée auprès de l’une des nourrices. Les religieuses m’ont alors proposé de régler cette dette à condition de signer un acte d’abandon. Elles se chargeraient de faire adopter l’enfant. Elles insinuèrent qu’en cas de non-paiement de ma dette je risquais d’aller en prison et d’être séparée de ma fille. Alors que je les soupçonnais d’avoir déjà fait baptiser mes enfants à mon insu j’ai accepté ce marché sordide. J’étais aux abois. Tu vois, je ne vaux pas mieux que mon père. J’ai abandonné mon fils âgé de huit mois. »

 

Jean-Paul DAMAGGIO. Biographie-bibliographie

Jean-Paul DAMAGGIO
Jean-Paul DAMAGGIO

Né en 1951 à Bioule Tarn-et-Garonne, il se lance dans l’écriture par l’histoire locale en lien avec le mouvement occitan. Léon Cladel deviendra sa référence. Instituteur sa vie durant, à la retraite, il élargit sa réflexion et ses publications aux domaines les plus divers, mais toujours en lien avec l’histoire. Il a dépassé la centaine de publications dont plusieurs sont disponibles sur le blog des éditions la brochure. Les derniers livres parus concernent les inventions avec la Guima, une entreprise de Caussade, et l’aspect du cloître de Moissac.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Danser… de Claudine Thibout-Pivert

Recueil de poèmes

Passionnée de danse depuis l’enfance, la pratiquant en amateur, Claudine Thibout-Pivert exprime à travers ce recueil de poèmes son amour pour cet art qui occupe une place centrale dans sa vie. À partir également de citations glanées ici et là, elle explore et trace des chemins poétiques, menant ainsi une réflexion plus approfondie sur ce qu’est la danse et tout ce qu’elle représente. Dans cet ouvrage illustré par l’une de ses aquarelles, l’auteur mêle alors les trois arts qui lui sont chers et qui se rejoignent dans un même élan : la danse, la peinture et l’écriture.

Date de parution
14/07/2023

Editeur
Le Lys Bleu

Nombre de pages
140

Claudine THIBOUT PIVERT. Biographie Bibliographie.

Claudine THIBOUT-PIVERT

Claudine Thibout-Pivert est auteur et illustratrice. Elle illustre ses recueils par des aquarelles « sèches », c’est-à-dire réalisées avec très peu d’eau. Ses aquarelles sont très détaillées et précises, style miniatures, et de petit format. Elle réalise également des dessins au crayon : le chevet de la Basilique Saint-Sernin, ainsi que la façade du Capitole de Toulouse, pour lesquels elle a obtenu deux Premiers Prix artistiques. Ces deux dessins sont d’ailleurs commercialisés à l’Office de Tourisme de Toulouse sous forme de cartes postales.

 

Claudine THIBOUT-PIVERT

Courriel: claudine.thibout@wanadoo.fr

Website: http://www.occitanielivre.fr/annuaire/thibout-pivert-claudine

BIBLIOGRAPHIE

Pour accéder à la fiche descriptive des ouvrages (nom en couleur), cliquez sur leur nom

Dans l’ombre de Jaurès de Robert Millet

5 août 1914. L’homme qui, anonyme parmi la foule, accompagne la dépouille de Jean Jaurès jusqu’au cimetière des Planques à Albi, va, dans quelques pages, prendre pour nous un nom, un visage et devenir notre guide sur les traces du grand Jaurès. L’histoire de Jules, adolescent issu d’une famille modeste, homme du peuple qui se bat pour l’avènement d’une société plus juste, où les pauvres, paysans, ouvriers, mineurs, verriers, pourront enfin vivre dans la dignité et la sécurité, rejoint la grande Histoire : celle d’un dix-neuvième siècle où poursuivre ses études au-delà du certificat d’études est quasiment impossible pour qui n’est pas « bien né », femme de surcroît, quelles que soient ses capacités, où les plus riches exploitent de façon éhontée des hommes et des femmes qui travaillent dans des conditions inhumaines pour des salaires misérables et vieillissent, tombent malades, meurent, prématurément.

Au fil des pages, André, Jules, Éléonore, Albert, Augustine… deviennent un peu notre famille et nous nous attachons à les suivre, à la mine, à la verrerie de Carmaux ou d’Albi, à voir grandir leurs enfants, à souffrir de leurs malheurs, à nous réjouir de leurs bonheurs.

Robert Millet signe ici un roman où intrigue et éléments historiques se mêlent de façon particulièrement réussie, pour le plus grand plaisir du lecteur.

Dans l’ombre de Jaurès

Millet Robert

Éditeur : Editions Noir au Blanc

Prix de vente au public (TTC) : 18.00€

icône livreLivre imprimé

260 pages ; 21 x 14,8 cm ; broché

ISBN 979-10-97157-23-4

EAN 9791097157234

édité 13/11/2023