Ciné Monclar en Janvier 2013

A vos agendas ! Voilà le programme de Ciné Monclar pour le mois de Janvier 2013.

L'air de rien
L'air de rien
  • L’air de rien

Mardi 1 à 21h
Réalisé par Grégory Magne, Stéphane Viard
Avec Michel Delpech, Grégory Montel, Fred Scotlande
Durée : 1h30

Il y a trente ans, Michel enchaînait les tubes. Aujourd’hui, il collectionne les dettes ! Retiré à la campagne, l’ancien chanteur accumule les retards d’impôts et amendes impayées. Il y a trente ans, Grégory Morel était bercé au son des succès de Michel. Aujourd’hui huissier de justice, il est mandaté pour le saisir. Mais Grégory ne se sent pas de confisquer les biens de l’ex-idole. Il se met en tête de l’aider à rembourser et entraîne Michel sur les routes d’une improbable tournée.

C’est par hasard que les deux réalisateurs ont croisé Michel Delpech dans la rue. A son insu, ils ont observé le chanteur, et une discussion autour de ses chansons s’est engagée. Quelques mois plus tard, ils ont écrit le scénario et ont repensé à cette anecdote lorsqu’il a fallu choisir un personnage « réel » chez qui l’huissier du film allait frapper.

Libération : sensible et gentiment barré

A pas de loup
A pas de loup
  • A pas de loup

Dimanche 6 à 16h
Réalisé par Olivier Ringer
Avec Wynona Ringer, Olivier Ringer, Macha Ringer
Durée : 1h17

Dans un monde pas si lointain et à une époque pas si éloignée vivait une petite fille comme les autres qui croyait être invisible aux yeux de ses parents. Pour en être bien certaine, elle décida de disparaître. Ce qui aurait pu mal se terminer se transforma en une aventure extraordinaire, une quête d’identité et de liberté digne de Robinson Crusoé.

Le film A pas de loup a concouru dans de nombreux festivals et était notamment en lice à la Berlinale 2011 en Sélection Officielle dans la catégorie Génération KPlus.

L’express : C’est « Alice au pays des merveilles », mais sans les merveilles. Un conte initiatique sans effets spéciaux, passionnant pour les marmots, passionnant pour les parents. Qui dit mieux?

Augustine
Augustine
  • Augustine

Le film  » Augustine  » qui devait être diffusé le mardi 8 janvier à 21 heures n’est pas disponible et sera remplacé par le film  » ce que le jour doit à la nuit ».

Mardi 8 à 21h
Réalisé par Alice Winocour
Avec Vincent Lindon, Stéphanie Sokolinski, Chiara Mastroianni
Durée : 1h42

Paris, hiver 1885. A l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, le professeur Charcot étudie une maladie mystérieuse : l’hystérie. Augustine, 19 ans, devient son cobaye favori, la vedette de ses démonstrations d’hypnose. D’objet d’étude, elle deviendra peu à peu objet de désir.

Le film Augustine est tiré d’une histoire vraie : en 1873, la jeune fille entre à l’hôpital de la Salpêtrière et devient l’une des patientes les plus célèbres du professeur Charcot et de l’établissement. Elle s’évadera de l’hôpital en 1885.

Marianne : Vincent Lindon dresse du savant (Pr Charcot) un portrait épatant, mélange de certitudes arrogantes et de doutes persistants, qu’un trouble interdit va bientôt submerger.

Télé gaucho
Télé gaucho
  • Télé gaucho

Mardi 15 à 21h
Réalisé par Michel Leclerc
Avec Félix Moati, Sara Forestier, Eric Elmosnino

Tout a commencé lorsque les caméscopes ont remplacé les caméras. Faire de la télé devenait alors à la portée de tous. Jean-Lou, Yasmina, Victor, Clara, Adonis et les autres ne voulaient pas seulement créer leur propre chaîne de télé, ils voulaient surtout faire la révolution. Ainsi naquit Télé Gaucho, aussi anarchiste et provocatrice que les grandes chaînes étaient jugées conformistes et réactionnaires. Cinq années de grands foutoirs, de manifs musclées en émetteur pirate, de soirées de beuveries en amours contrariées… et ce fut ma parenthèse enchantée.

Entre 1995 et 2000, Michel Leclerc faisait partie d’une chaine de télévision associative, Télé Bocal. Le principe était le même que Télé Gaucho, à savoir afficher une solidarité avec les mouvements sociaux et créer une proximité avec les habitants du quartier. Fort de cette expérience, il a voulu retranscrire l’esprit de groupe propre à cette organisation dans un long métrage.

Le Monde : Avec « Télé Gaucho », Michel Leclerc confirme qu’il est une voix à part dans le paysage de la comédie française contemporaine.

Le Journal du Dimanche : La politique sert de toile de fond mais ce qui domine ici, c’est l’amour des personnages, la générosité et le rire, qui valent bien toutes les banderoles.

Twillight 5
Twillight 5
  • Twilight 5

Mardi 22 à 21h
Réalisé par Bill Condon
Avec Kristen Stewart, Robert Pattinson, Taylor Lautner
Durée : 1h55

Après la naissance de sa fille Renesmée, Bella s’adapte peu à peu à sa nouvelle vie de vampire avec le soutien d’Edward. Se sentant menacés par cette naissance d’un nouveau genre, les Volturi déclarent la guerre à la famille Cullen. Pour préparer leur défense, les Cullen vont parcourir le monde pour rassembler les familles de vampires alliées et tenter de repousser les Volturi lors d’un ultime affrontement.

Si « Twilight Révélation » n’est qu’un seul et même livre, la production a décidé assez tôt de diviser le roman en deux films. Le metteur en scène Bill Condon, chargé de réaliser le premier volet de la dernière partie, a donc poursuivi sur sa lancée en tournant le second film. C’est la première fois qu’un même réalisateur tourne deux films de la saga.

Aujourd’hui : Après un 4e épisode qui s’égarait en mièvreries, jalousies amoureuses et roucoulades (…) ce dénouement retrouve in extremis des couleurs.

TéléCinéObs : On méprisait d’avance ce produit fantastico-gnangnan. On a eu tort.

The we and the I
The we and the I
  • The we and the I

Mardi 29 à 21h
Réalisé par Michel Gondry
Avec Michael Brodie, Teresa Lynn, Lady Chen Carrasco
Durée : 1h43

C’est la fin de l’année. Les élèves d’un lycée du Bronx grimpent dans le même bus pour un dernier trajet ensemble avant l’été. Le groupe d’adolescents bruyants et exubérants, avec ses bizuteurs, ses victimes, ses amoureux… évolue et se transforme au fur et à mesure que le bus se vide.
Les relations deviennent alors plus intimes et nous révèlent les facettes cachées de leur personnalité…

The We and the I est ce que l’on pourrait appeler un « bus-movie », puisque l’action se déroule presque exclusivement dans un bus et prend des allures de huis-clos mobile ! Pour la petite histoire, il s’agit d’une véritable conductrice de bus qui est au volant du véhicule ! Si la ligne est inventée, le bus, en revanche, est un vrai bus du service des transports new-yorkais.

Les Cahiers du Cinéma : « The We and the I », huitième long métrage de Michel Gondry – et de toute évidence son meilleur, son plus pur, son plus enlevé.

Les Inrockuptibles : On retrouve ainsi, dans « The We and the I », tout ce qui fait la « marque » Gondry, sans avoir pour autant la moindre impression de déjà-vu

Communiqué des Amis du Cinéma

Retrouvez tous les évènements dans l’agenda !

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