Vendredi 7 juin 2013, l’atelier théâtre du collège Albert Camus présente « Théâtrale gifle » au théâtre de Villemur à 18 heures.
« Jamais on ne célébrera assez M. Sacha GUITRY comme auteur dramatique. Il a tous les dons : la facilité, la langue, le naturel, l’invention, la vérité, le renouvellement, la fertilité, la clarté, la sensibilité, l’observation, l’émotion, et l’esprit, l’esprit par-dessus tout, l’esprit sans lequel l’intelligence n’est qu’une chose pédante, lente et monotone.
Si le théâtre a pour objet d’intéresser en amusant, de faire rire en peignant la vie, de faire réfléchir en montrant les travers et les ridicules, cela sans discours, sans tirades, sans photos, sans thèse, par le simple jeu des répliques et le caractère des personnages, avec clarté et vérité, M. Sacha Guitry est le premier auteur dramatique d’aujourd’hui… »
Paul LEAUTEAUD en 1922
Les bons mots de Sacha :
- C’est entre 30 et 31 ans que les femmes vivent les dix meilleures années de leur vie.
- C’est une erreur de croire qu’une femme peut garder un secret. Elles le peuvent, mais elles s’y mettent à plusieurs.
- Il y a des gens qui parlent, qui parlent – jusqu’à ce qu’ils aient enfin trouvé quelque chose à dire
- Le meilleur moyen de faire tourner la tête à une femme, c’est de lui dire qu’elle a un joli profil.
- Toi, quand tu arriveras un jour à l’heure, c’est que tu te seras trompée d’heure.
- Deux femmes finiront toujours par se mettre d’accord sur le dos d’une troisième.
- On a les femmes dans les bras, puis un jour sur les bras, et bientôt sur le dos.
- Aimez les choses à double sens, mais assurez-vous bien d’abord qu’elles ont un sens.
- Le mariage est comme le restaurant. A peine est-on servi qu’on regarde ce qu’il y a dans l’assiette du voisin.
- J’ai appris à aimer certains hommes par le mal que j’en avais entendu dire par d’autres hommes que je n’aimais pas.
- Je crois que les femmes sont faites pour être mariées… et que les hommes sont faits pour être célibataires. C’est de là que vient tout le mal!
- Il ne faut jamais regarder quelqu’un qui dort. C’est comme si on ouvrait une lettre qui ne vous est pas adressée.
- A force de changer de femme, on finit par changer soi-même!
- Si la femme était bonne, Dieu en aurait une!
- Être riche, … ce n’est pas avoir de l’argent – c’est en dépenser.
- On est un peu l’esclave des rêves qu’on a faits.
- Ne riez pas de la femme d’un autre car qui sait si demain elle ne sera pas la vôtre.
- A l’égard de celui qui vous prend votre femme, il n’est de pire vengeance que de la lui laisser.
- Si le plus grand plaisir des hommes est de se payer le corps des femmes, le plus grand plaisir des femmes est de se payer la tête des hommes.
- Si les femmes savaient combien on les regrette, elles s’en iraient plus vite !
Communiqué par Ronit Langlois pour l’Atelier Théâtre du collège Albert Camus de Villemur sur Tarn
