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« L’énigme du Rubicon » par Jean-Jacques SOULET

Rubicon

Jules César (suivant Dion Cassius) distinguait les Celtrs des Gaulois, et divisait la Gaule en trois territoires, les Belges au nord, les Celtes au centre et les Aquitains au sud ouest. Ces derniers seraient des autochtones et nous désignons ces aïeux Gaulois Ibères.

Pour l’histoire de la Gaule on a fait de Vercingétorix le personnage emblématique, mais on a omis Adiatuanos auquel il attribue le pouvoir suprême et protégé par une garde royale de 600 »soldures » dévoués. Cléopâtre après la venue du conquérant en Égypte en avait 400, Le précepteur des enfants de cette reine et de Marc Antoine désigne Adiatuanos « Basileus » grand roi ou roi sacré ? Mais il n’évoque pas Vercingétorix,

Nous abordons la conquête romaine à son début, avec la résistance des Gaulois Ibères  avec les batailles de:

  • En 107 av,J.C. avec pour renfort l’armée des Tigurins contre L,Cassius que l’on croit à Agen,
  • Lors de la guerre de Sertorius en 76 avJ.C. L’armée Sotiate contre L.Manlius,
  • en 56 av J.C. Au cours de la guerre des Gaules le lieutenant de Jules César P Crassus vient affronter et vaincre les Sotiates commandés par Adiatuanos, Puis il assiège la cité en vain,
  • Avant de se retirer ce jeune romain doit combattre les Aquitains avec en renfort les Cantabres et les Vaccéens.

Pourquoi le Rubicon ? Jules César devait se rendre à Rome pour un nouveau mandat de consul, mais selon la loi il devait franchir le fleuve frontière sans armée ; Il craignait le complot,

Alors fin 51 avant J.C. la Gaule étant conquise il vient en Aquitaine et là il élabora un stratagème pour accomplir cet acte audacieux, Il a réussi sans une goutte de sang,

« Jean-Jacques SOULET ». Biographie- Bibliographie

Jean-Jacques SOULET

Jean-Jacques Soulet est Architecte.

Membre associé de l’Académie du Languedoc.
Ancien membre de l’ICOMOS association experte auprès de l’UNESCO.
Membre d’associations historiques locales.
Société d’histoire et d’archéologie de la Basse Ariège. Pamiers (Ariège).
Société d’Histoire du Garnaguès . Belpech. (Aude).
Société des Amis du Couserans et de Saint-Lizier. Saint-Girons (Ariège)

Depuis Décembre 1982 consacre ses recherches sur l’histoire de la civilisation antique méconnue la nôtre, et sur ses monuments, ponts avec arches en pierre ou en briques, aqueducs, canaux d’irrigation, de nos contrées du Languedoc Roussillon et de l’ Aquitaine orientale.
A présenté des communications dans les institutions : l’Académie du Languedoc, l’Académie des sciences et arts de Carcassonne, dans les congrès des Sociétés académiques et savantes Pyrénées, Languedoc, Gascogne et dans le cadre de sociétés d’histoire locale.

Contact : SOULET Jean-Jacques Pierre
14 Rue Édith Piaf
09100 SAINT-JEAN-DU-FALGA
Tél./ Fax : 05 81 30 65 05
Courriel : jean-jacquessoulet@sfr.fr

 

« Antonimos d’Apamia, le dernier « roi saint » des Gaulois Ibères » Jean-Jacques SOULET

Jean-Jacques SOULET
Jean-Jacques SOULET

Saint-Antonin d’Apamia reste une énigme, mais on l’identifie vis à vis des autres Saint-Antonin par l’anniversaire de son martyre le 2 septembre.
Antoninos d’Apamia, désigné Saint Antonin d’apamia en France, Sant Antolin en Espagne, Santo Antonino en Italie, et Saint Anthony dans le Kent.
Il naît en 446, sous l’occupation des Visigoths de Toulouse et de leur roi Théodoric Ier. Il se retrouva orphelin de bonne heure de père, puis de mère. Menacé par Théodoric II roi de Toulouse, il fuit sa patrie à 17 ans, et s’éloigna en Syrie. A la mort de ce roi en 466, il se rendit à Salerne (Italie) qu’il quitta au moment de la chute de l’empire Romain vers 476. Mais pour sa sécurité, il entreprit un périple de 43 ans, en Italie, en Gaule, dans le Kent, en Espagne. Les villages et les villes où il séjourna l’honorent, et se nomment Saint-Antonin, ou lui dédièrent leur église. Nous dressons une liste des lieux qui permirent de comprendre ce personnage et la mission à léquelle il voua sa vie… A Apamée de Syrie; en Italie: Capoue, salerne, Castro Pofi, Sgurgola, Montecelio, Monte Porzio Catone, Fara (sabine) Ornaro, Castel Nuovo de Porto, Pérouse, Florence, Lucques, Carpasio, Entracque, Courmayeur. En Gaule: Bonvillard (Savoie), Levens et Saint-Antonin de Roquesteron ( Alpes Maritimes), Bagnols en Forêt (Var), Bussy le Grand (Côte d’Or) Clermont (Puy de Dôme), Chanteuges (Haute Loire), Combret Marcillac et Rodez (Aveyron), Saint-Antonin Noble Val (Tarn et Garonne) Bruguières et Toulouse (Haute Garonne), Saint-Antonin et Lialores (Gers), Cahors (Lot), Segonzac (Dordogne), Bordeaux (Gironde), Saint-Antonin de Sommaire, Cernay, Authou, Saint-Aquilin de Pacy, Epaignes (Eure), Hautôt sur Seine (Seine Maritime), Châtres (Seine et Marne), Noyon (Oise)… En Angleterre: Alkham (Kent). En Espagne : Lekeito (Pays basque), Palencia, Medina del campo, Tolède, Sarinena (Aragon), Lleida…
Ce roi chrétien regagna Apamia, toujours sous occupation Visigothe, là il subit le martyre le 2 septembre 506, sur la rive de l’Ariège. Au printemps 507 Clovis conquit l’Aquitaine, sauf la Septimanie (Languedoc) ; la Gaule devint le royaume des Francs avec Paris, capitale.

Un de ces biographes J.J.Pouech écrivait:
«  Saint-Antonin fut en son temps, surtout au moyen âge un saint d’une immense célébrité et c’est précisément cette célébrité qui a le plus contribuée a obscurcir son histoire, tellement qu’il n’est pas de saint honoré dans l’église sur le compte duquel on ait le plus discuté. »

Format 15 x 21 – 459 pages, 93 illustrations (photos dessins) 1100 notes bibliographiques. Auto-édition . Parution 1 er trimestre 2012 – ISBN : 2-9524454-2-7 – Prix: 32 Euros + port 7 euros.

Vente par l’auteur.

« Les Arcades. Un pont aqueduc antique méconnu. L’origine de Perpignan » Jean-Jacques SOULET.

Jean-Jacques SOULET
Jean-Jacques SOULET

Un texte daté de 961 mentionne le legs par le comte Raymond de Rouergue et de Gothie, de « l’alleu Perpiniani » aux églises d’Elne, de Gérone et l’abbaye de Saint-Pierre de Rhodes… Mais antérieurement ?
En introduction l’auteur aborde sous un nouveau jour, le passage en 218, d’Hannibal avec ses éléphants et surtout son arrêt devant Ruscino…
Puis suivant une analyse architecturale, constructive, technique et archéologique du pont aqueduc « les Arcades » connu des Perpignanais il révèle les grandes connaissances des constructeurs…
Ce monument attribué aux bâtisseurs médiévaux selon la première version écrite au XIIIème siècle. Mais certains historiens locaux désignent une œuvre des Arabes, ou des Visigoths et quelquefois des Romains…
Heureusement la dédicace Romaine trouvée au château de Corbère mentionne l’existence d’un aqueduc et de la ville « Municipium Flavium Ebusum », aussi cette trouvaille prête a confusion…
Lors de la guerre de Sertorius en 76 av.J.C un personnage Romain, Marcus Perpenna Vento ( en s’alliant avec les Gaulois) délivra le « Roussillon », et la mystérieuse ville de « Cale » de l’ occupation Romaine … Le nom célèbre de ce banni de Rome, serait-il l’éponyme de Perpignan ?
Sans oublier la légende du Père Pigne venu plus tard de la Cerdagne et désigné comme le fondateur de la ville de Perpignan… Quel épilogue …

Livre de format 15 x 21 . de 64 pages, avec photos couleurs et dessins. Auto-édition. Parution Avril 2006. N° ISBN : 2-9524454-1-9 –  Prix 14 Euros

Vente par l’auteur ou dépôt vente dans l’Aude ou Pyrénées orientales.

« Ansignan. Le pont aqueduc et ses bâtisseurs » Jean-Jacques SOULET

Jean-Jacques SOULET
Jean-Jacques SOULET

Si vous vous intéressez à l’archéologie énigmatique, ne manquez pas le pont aqueduc, avec un pont tunnel enjambant le fleuve l’Agly à Ansignan à l’ouest des Pyrénées Orientales, à quelques kilomètres au Sud de Saint-Paul de Fenouillet.

Ce monument de plus de 170 mètres de longueur, comprend 29 arches mais divisées en 3 groupes: le premier le plus ancien rive gauche compte 21 arches, dont 17 arches avec arcs de briques; le second formant les extrémités du pont tunnel, dont deux arches en brique ruinées mais conservées ; le troisième la partie médiane de ce pont tunnel, avec 4 arches avec voussoirs en pierre.

Il fut classé monument historique depuis 1974 et un panneau officiel indique « pont aqueduc romain » sans justifications, aussi beaucoup en doutent.
Qui sont ses constructeurs ? Jusqu’à ce jour aucune réponse n’a été formulée…

Ce petit livre « le pont aqueduc et ses bâtisseurs » analyse l’archéologie et l’ architecture de ces 3 ouvrages du plus ancien au plus récent, complétée par des dessins et des photos. De son architecture et de sa construction , le pont aqueduc d’origine avec sa curieuse légende évoquant l’amenée de l’eau « aux jardins de Babylone », il en résulte un épilogue surprenant et inédit.

Format 15 x21 de 32 pages avec photos couleurs et dessins. Auto-édition. Parution Mai 2005 -, ISBN 2-9524454- 0-0 – Prix: 10 Euros

Vente par l’auteur ou en dépôt vente Aude et Pyrénées orientales

« Histoire et archéologie d’Apamia. Antiquité et Moyen Age au pays de Pamiers » Jean-Jacques SOULET

Jean-Jacques SOULET
Jean-Jacques SOULET

Sous forme d’articles datés, cette étude historique et archéologique d’Apamia, remonte le temps à partir de 1300 avec le dernier abbé de Saint-Antonin Bernard Saisset devenu le premier évêque d’Apamée, jusqu’à l’antiquité plusieurs siècles avant Jésus Christ.

Le moyen âge, évoquant le château d’Apamée et la translation des reliques de Saint-Antonin le 19 Juin 987.
Le Haut Moyen âge à Cailloup présente la basilique de Saint-Antonin, et « l’ospital » Saint-Antonin.
L’Antiquité concerne la découverte de la Cité d’Apamia et le voile soulevé sur quelques mystères, dont le nom de « Pamiers ».
La guerre des Gaules en situant les batailles contre les Romains mentionnées par Jules César : la bataille de Cintegabelle en 107 av.J.C avec les Tectosages alliés aux Tigurins ; celle des Sotiates en 78 av.J.C sur le site de Saverdun, Montaut, Mazères, Calmont.
Les arrosages Apamiens au sujet du Crieu et de quelques ouvrages d’art.
L’art antique en fonction de quelques trouvailles.
L’entrée dans l’an 2004, et non dans l’an 2000 …

Livre de format 15 x 21 de 206 Pages, avec illustrations en couleur et dessins. – Parution en Février 2002. – N° ISBN 2-84149-082-3 – Editions Lacour Nîmes (Gard) – Prix : 18 Euros

Vente auprès de l’éditeur ou de l’auteur.