C’est la chronique de sa famille maternelle, les Maraval, dans le hameau des Besses en Sidobre, près de Saint Salvy de la Balme (81). Elle est un témoignage précieux sur la vie rurale dans ce vieux pays, de la Révolution jusqu’à la fin du XXème siècle.
L’ouvrage est enrichi par des poèmes de la Bessola *, illustrés par le regretté Gaston-Louis Marchal (1927 – 2014). Arlette Homs en a été la collaboratrice, et comme elle se plait à le dire, il fut son « mentor ».
Peintre et auteure, Hania Raczak est née à Valenciennes en 1958 et réside dans le Lot-et-Garonne. Ses grands-parents ont quitté la Pologne pour immigrer en France dans les années 20 et elle reste très attachée à ses origines.
Lycéenne puis étudiante, Hania écrit des nouvelles et de nombreux poèmes pour lesquels elle reçoit à deux reprises le prix Henri Pourrat. Après des études littéraires et artistiques, elle entre à l’Ecole Normale de Dijon et devient institutrice. Parallèlement à sa carrière d’enseignante, elle écrit des textes courts, notamment des chansons, tout en exposant des paysages à l’aquarelle ou des huiles à Bagnères-de-Bigorre et Campan.
En 2002, elle décide de réunir ses passions dans une même démarche. Elle crée l’atelier Haniawork – un clin d’œil au mot « patchwork » et à son surnom – et tisse des liens entre peinture, couture et écriture. Depuis, Hania a écrit quatre romans et présente des expositions originales dans lesquelles des vêtements s’invitent près de ses tableaux ou des aquarelles suggèrent le plan d’un roman… Un univers et une approche sensibles, emplis d’émotion.
Ses projets sont nombreux. Son dernier roman Zofia, racines et destin ravive le souvenir de l’immigration polonaise dont c’est le Centenaire, de nombreuses conférences et expositions sont prévues.
A l’occasion du 150 -ème anniversaire de la venue de Rimbaud dans la ville de Douai, Hania a récemment participé à un ouvrage collectif édité chez Nord Avril : Nouvellesbuissonnières, Arthur Rimbaud à Douai.
Elle vient de terminer une trilogie de romans destinés aux jeunes lecteurs de 9 à 13 ans: les trois -ski.
PROLOGUE de « HORS DU TEMPS » Mon petit RECUEIL de POÉMES
Vous saviez en choisissant cet ouvrage que vous seriez en tête à tête avec le plus profond de mon être.
Un poème n’est jamais anodin.
Il porte, à chaque mot, toute l’intensité des sentiments de son créateur.
Peu importe le nombre de ligne, de mot, de rime, riche ou pauvre ou inexistante, ce qui compte, c’est ce que vous allez ressentir à la lecture du poème, ne serait-ce qu’avec un seul d’entre tous.
On appelle ce moment « être en communion » avec un texte, avec un auteur, avec le poète, avec celui qui met dans ses mots, sa pensée, son cœur, son âme, sa vie, ce qu’il est à cet instant, ce qu’il fut, pour devenir ce qu’il sera.
Vous n’aimez pas celui-ci, peu importe, passez au suivant, jusqu’à celui qui va chambouler vos sens, vous faire perdre pied et vous envoyer dans les rêves, dans mes rêves ou dans mes tourments.
Les poèmes de 1962, quand j’avais 16 ans, et ceux de 2020, ou j’ai 74 ans, ont tous le même point commun, ils expriment mes sensations et mes sentiments les plus profonds.
Alors, pour les ranger de façon logique, même s’il n’y a pas de logique en poésie, j’ai choisi deux thèmes et classé les textes chronologiquement ce qui me parait être la meilleure solution, mais présent et passé sont si proches.
Donc adieu aux grands principes et bonjour à la fantaisie.
Lisez bien, l’un d’entre eux va vous parler, au plus profond du cœur, on sera sur la même longueur d’onde.
Si vous ne le trouvez pas, alors, posez les yeux à l’horizon et voyez le champ de bleuets, là sont les âmes de nos poètes.
EPILOGUE :
Pour l’instant c’est fini.
Mais la vie est un éternel recommencement et quand la plume me gratouille, il m’est impossible de résister.
Ne désespérez pas, un de ces jours vous retrouverez quelques nouveaux poèmes dans un petit livre, sur votre tablette, sur les réseaux sociaux, placardés sur un panneau d’affichage, récités par un crieur de rue, déclamés par un artiste d’un jour, ou sur un papier gras, ordinaire, froissé et jeté dans une poubelle providentiellement, là, pour vous servir, peu importe, l’essentiel c’est qu’ils vous plaisent, qu’ils vous donnent de la joie au cœur, et du cœur pour aimer, vous-même et les autres, ici et ailleurs.
Lisez bien, l’un d’entre eux va vous parler, au plus profond du cœur, on sera sur la même longueur d’onde.
N’oubliez pas, si aucun d’entre eux retient votre attention, alors, posez les yeux à l’horizon et voyez le champ de bleuets, là sont les âmes de nos poètes.
Fabienne Lhoumeau est originaire de Poitiers mais elle est installée en Lot-et-Garonne depuis de nombreuses années.
Très jeune, elle commencera à cultiver son goût pour la littérature.
Parallèlement, elle exerce son métier de formatrice en culture générale, anglais et bureautique.
Deux fois primée au Jasmin d’Argent
Avec son quatrième recueil de poèmes, intitulé « Ephéméride », Fabienne Lhoumeau a reçu en 2017 le Prix du Conseil Départemental pour « Le Papillon » puis en 2018, le Prix de la Ville d’Agen, pour « Le Coquelicot téméraire ».
Fabienne Lhoumeau est également auteur de romans, dont « La Fenêtre ».
Recueil de prose poético-humoristique, réunissant 70 textes courts, dans un univers décalé, où l’auteur laisse libre cours à son imaginaire, et joue sans fin avec la langue française.
Claudine Thibout-Pivert a la passion des mots et le sens du rythme. Son inspiration cueille la vie, car c’est de vie que nous parle ce recueil. Elle regarde, elle écoute, elle médite et nous raconte ces choses que nous connaissons tous, de manière amusée et amusante. Portée par les mots, guidée, elle nous offre des textes libres et rafraichissants. Et c’est plutôt du bonheur.
Prix de Poésie 2011 du Salon du Livre des Gourmets de Lettres, sous l’égide de l’Académie des Jeux Floraux, qui s’est déroulé à l’Hôtel d’Assézat de Toulouse les 22 et 23 Octobre 2011.
Éditions Le Chasseur Abstrait. Novembre 2012.
Pour se le procurer, contacter les éditions Le Chasseur Abstrait (voir leur site www.lechasseurabstrait.com,)
Artiste peintre d’origine toulousaine, Corinne Izquierdo a choisi depuis 20 ans la voie exigeante de l’aquarelle et ses œuvres sont régulièrement exposées en galeries. Dans cet ouvrage « L’aquarelle montre patte blanche », l’aquarelliste expose dans une première partie pédagogique les principes et les techniques de la traduction du blanc en aquarelle. Dans une deuxième partie, elle présente 40 œuvres, toutes consacrées au thème du blanc, qu’elle accompagne de poèmes choisis de Martine Biard ou Rémi Ghibaudo. Les résonances entre peinture et poésie ouvrent au lecteur un nouvel espace à son imagination et sa sensibilité.
Je suis né et ai grandi à Bagnac sur Célé, petite bourgade du Lot, situé près de Figeac. Par la suite une carrière militaire m’éloigne de mes terres Lotoises.
Après presque trente années de carrière dans l’armée de l’air dont dix-sept dans les écoles militaires comme instructeur, formateur et autant de bénévolat dans diverses associations, je me retire à Figeac, puis enfin à Martel, où je crée un cabinet d’écrivain public au début 2011. J’écris pour les autres et peut enfin laisser libre cours à ma passion de toujours : l’écriture.
Après, Moi ! L’imparfait, un récit de vie, paru en juin 2011, je publie un nouveau livre : POÈMES. Un recueil de poésies sur l’amour, la vie, le temps qui passe. Paru le 9 octobre 2011. Livre que je propose de manière inédite en le personnalisant presque à la demande.
Poèmes éclos dans la terre occitane, mots et images à la saveur des paysages, souffle d’amour et d’idéal, c’est une œuvre vivifiante source de connaissances, beauté et joies quotidiennes. Éditions de l’Ixcéa.ISBN 978-2-84918-111-9 Format : 135×220 mm ; 12€
Nadal Rey est un homme des pays d’oc ; il savoure la beauté et la noblesse de ce pays. Il aime la vie qu’il sait changeante et difficile.Il exprime avec bonheur un éternel désir d’épanouissement. Vigoureuse ou caressante, sa langue maternelle, l’occitan, l’aide à aller au fond des choses et des sentiments. Vous découvrirez dans ses poèmes l’originalité de l’œuvre, la profondeur de la pensée, le charme de la poésie. Tour au long de sa vie riche et diverse, Nadal Rey a prouvé qu’il était un homme de cœur et un homme d’action, un écrivain de talent et un meneur d’homme.
C’est une poésie née en langue d’oc, dans cette langue qui est la nôtre, expression millénaire de notre race, de notre pays, langue de civilisation, de fraternité et d’amour, inépuisable ressource de jeunesse, de beauté et d’enthousiasme.
Lire Nadal, c’est entamer une discussion avec un ami, clarifier son opinion, peut-être modifier son point de vue, voir plus clair en soi-même et dans le monde qui nous entoure. Cela dans le plaisir d’une langue juste, avec des mots pleins de sève, des versfaits, comme il se doit, de sonotité et de rythmes.
Bon de souscription » Esclarida Tome 1 » Poèmes en occitan avec traduction française de Nadal Rey
à retourner aux Éditions Ixcéa – 9 Boulevard des Minimes – 31200 Toulouse.
Je soussigné désire recevoir ………… exemplaires de « Esclarida Tome 1 » de Nadal Rey (Poèmes occitans avec traduction en français).et je joins mon règlement à l’ordre des Editions Ixcéa soit ………………. exemplaires x 12 euros = …………………..euros (frais de port offert).
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